association Défense de l'environnement et de la biodiversité à Montenois
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Creuse: Linard-Malval.
Protégeons le Bassin de la Petite Creuse 06 45 62 11 56 23220 Linard-Malval
Bonjour,
Nous sommes une petite association en lutte contre un projet éolien sur notre commune et environnante.
Nous sollicitons votre aide afin de répondre à nos questions.
Des membres de notre association on rencontrés le Maire de Linard-Malval, où pourrait être implanter ces fameux ventilateurs, Monsieur Poirier, afin d'évoquer le projet éolien, sur le site "la foret" à Malval. ce Maire clame à la cantonade qu'il est "contre" les éoliennes. C'est pourquoi il a ouvert en grand les portes de la mairie aux promoteurs éoliens.(sic) notre commune est inféodée à la société Sola Terra, porteuse du projet éolien sur Linard-Malval.
Des questions se posent quant à la future délibération en conseil municipal sur ce projet éolien. En effet:
Notre association est domiciliée à Linard-Malval. Le Président de l'association, est conseiller municipal à Linard-Malval. La Secrétaire de l'association est conseillère municipal à Linard-Malval.
Sachant que dans nos statuts rien n'apparait au sujet des éoliennes ou projet éolien. Et que bien entendu nous n'avons aucun intérêt financier dans cette affaire.
En premier lieu :
Le Maire semblerait mettre en doute notre participation aux délibérations sur ledit projet éolien, Nous serions en conflit d’intérêts.
Le Maire aurait il le droit de nous interdire de participer aux délibérations au sujet de ce projet éolien. Sous prétexte de conflit d’intérêts ??
y a t'il jurisprudence.? texte de code pénal? texte des collectivités territoriales?
En second lieu:
Nous avons demandé la liste des propriétaires concerné par le projet éoliens, nous avons essuyé une fin de non-recevoir sous prétexte que cette liste est ultra confidentielle. Sans cette liste nous ne pouvons pas convaincre les propriétaires de ne pas signer de bail emphytéotique. Et nous ne pouvons pas savoir si un ou des élus sont intéressés financièrement par le projet éolien.
Le maire peut-il refusé de nous communiquer cette liste?
s'il vous plait, en attente de vos réponse.
Cordialement
le conseil d'administration. Le président Christophe Martin.
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Vienne : Boivre la Vallée bonjour,
En effet nous sommes très satisfaits du travail réalisé pour fournir un dossier très complet au commissaire enquêteur accompagné d'un dossier ornithologique que nous avons pu faire réaliser par des spécialistes des busards. C'est sur ce point le résultat d'observations sur le terrain pour bien situer les lieux de nidification. Que du concret sur ce document, et cela a certainement été très convaincant et difficile à contourner.
Nous avons aussi été très actifs, via certains de nos membres, auprès des institutions sur le contexte local lié aux monuments historiques, tels que le Château de Montreuil Bonnin et de Curzay, ainsi que la proximité d'un site gallo-romain recevant tous les ans un spectacle lyrique (Sanxay) reconnu nationalement. Nous avons aussi passé beaucoup de temps à convaincre les conseils municipaux locaux pour qu'ils restent droits dans leurs bottes en émettant un avis négatif.
Nous avons toujours voulu être très concrets et démonstratifs dans notre argumentation. Le commissaire enquêteur nous l'a fait remarquer lors de nos rendez-vous en mairie.
En revanche, dans les Deux Sèvres dans le village voisin des Forges, nous avons eu moins de succès. Malgré un rejet du projet par toutes les institutions, conseils municipaux, y compris celui des Forges alors que le Maire portait le projet, malgré l'avis négatif du commissaire enquêteur, la Préfète a donné un avis positif.
La remise en cause des deux projets acceptés sera plus compliquée car tous les recours seront très rapidement clos.
Nous ne lâchons rien !
Bien cordialement
François LE BOURG,
86470 Boivre la Vallée
Tél : 07 49 94 28 17
Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
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Vienne: Millac
Le saccage sytématique du bocage et de la gàtine du poitou s'accélère dans l'indifférence et avec la complicité des élus, des médias et des "écologistes " La France est "vendue " aux promoteurs éoliens et photovoltaïques. Les maires sacrifient leur commune pour quelques milliers d'euros. Regardez cette photo:....C'est l'âme de la France qui est détruite ( commentaire de JL Butré)
À Millac, on vit avec les éoliennes depuis un mois
Publié le | Mis à jour le
Depuis le 1er janvier 2023, les habitants de Millac ont dans leur paysage quatre éoliennes. Des « voisines » plutôt bien acceptées.
Depuis le 1er janvier 2023, les habitants de Millac comptent de nouvelles voisines avec les quatre filles du dieu Éole. Le parc éolien de la Croix de Chalais exploité par la société JPee, composé de quatre aérogénérateurs culminant à 180 m de haut, est désormais en service.
« C’est un projet qui remonte à dix ans. Elles ont été assemblées en début d’année 2022 et des essais ont été réalisés l’été dernier avant arrêt, explique Bernard Savard, maire de la commune. Ici, il n’y a jamais eu de réelles contestations pour leur implantation. Lors de la mise en service, il n’y a pas eu de réclamations à proprement parler. »
« Quatre projets éoliens sur la table, autant pour l’agriphotovoltaïque »
Fort de cet accueil favorable et du positionnement du poste source de la Roche facilitant le raccordement des productions issues des énergies renouvelables, l’édile voit les demandes de projets crouler sur son bureau : « Quatre projets éoliens sur la table, autant pour les projets agriphotovoltaïques (1). »
Néanmoins, le conseil municipal a pris une délibération symbolique refusant toute nouvelle implantation d’éoliennes. « Avec l’effet Covid, on a ressenti que certaines personnes avaient le besoin de revenir à la campagne. Mon inquiétude, c’est l’impact sur le paysage avec la multiplication des projets et leurs conséquences sur l’immobilier, confie l’édile. Les gens viennent s’installer ici pour les paysages, il ne faudrait pas casser cette dynamique. Notre commune contribue largement à la transition énergétique avec deux barrages hydroélectriques et les éoliennes. L’apport financier n’est pas négligeable pour le budget de la commune. Les huit éoliennes rapporteront environ 90.000 € par an. »
Pour et contre
Et du côté de la population ? Au bar L’Aventure, les habitants y sont plutôt favorables selon la patronne Martine Baudesson. « Lors des travaux, les gens en ont parlé, il y avait les pour et les contre. Pour certains, cela gâche le paysage. Pour ma part, cela ne me dérange pas, je trouve cela majestueux. À l’avenir, il faut bien faire quelque chose pour produire de l’énergie »,souligne-t-elle.
Gustave Chevalier, habitant du centre-bourg, renchérit : « Quand le vent vient du nord, on entend un ronflement, sinon rien. Ce n’est pas pire que le bruit du circuit ! » Un avis partagé par Jane Needham, propriétaire de la chambre d’hôtes du Chêne Vert, l’une des plus proches voisines de ces grandes dames du Vent, qui n’a pas vu son activité perturbée.
« Depuis leur installation, une seule personne nous a fait remarquer négativement leur présence. Dans la maison, nous n’entendons rien, c’est très calme. Il faut aller dans le jardin pour parfois les entendre. Il n’y a pas de problème pour moi ! »,conclut-elle.
(1) Un projet de 130 ha au lieu-dit Le Molessard initié par Néoen est en cours. Le permis de construire a été déposé.
Le parc éolien de la Croix de Chalais en chiffres
> Quatre éoliennes. > Hauteur en bout de pale : 180 m. > Puissance nominale de chaque éolienne : 3 MW. > Production annuelle du parc estimée à plus de 30.000 MWh, ce qui permettra d’alimenter 12.000 foyers par an (hors chauffage électrique). > Les autres projets éoliens à Millac : EDF/ENR à Chansenigoult ; Valéco au lieu-dit le Bouchet ; Kallista Energy ; H2Air
À Courban et Louesme, deux communes situées dans le Châtillonnais mais aussi dans le Parc national de forêts, la société Abo Wind projette d’implanter un parc éolien composé de six mâts. Explications.
Astrid GAYET - 10 févr. 2023 à 19:11
La naissance du projet
C’est après avoir procédé à des analyses cartographiques de zones potentiellement intéressantes que la société Abo Wind a travaillé au développement d’un projet de parc éolien sur le secteur de Bissey-la-Côte, Courban, Louesme, Maisey-le-Duc et Villotte-sur-Ource. « C’est une de nos zones d’études et elle est divisée en deux : une partie sud, en forêt, avec Villotte et Maisey ; et une partie nord, en grandes cultures, avec Bissey, Courban et Louesme. Et depuis la mi 2020, on a sollicité les élus de ces communes. Et on a rencontré les propriétaires fonciers pour ce projet appelé le projet éolien des Cinq Combes », explique Benjamin Moreau, responsables de projets chez Abo Wind.
L’avancement du projet
« En juillet 2021, à la suite de l’installation d’un mât de mesure à Bissey, on a lancé des études (sur le milieu humain et naturel, mesures de vent et acoustiques, analyse de la biodiversité, etc.) dans toutes ces communes – ce qui représente une zone d’environ 1 700...
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Pas-de-Calais. OSARTIS MARQUION
Réponse à l'article "Quand le vent nous éclaire..." publié dans le numéro OSARTIS MARQUION NEWS en janvier ( p. 26 et 27) Tribune à des représentants de l'industrie éolienne alors que ce territoire est si durement impacté par l'envahissement incontrôlé des parcs éoliens.
De : ASPECT Val de Sensée<Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.>
Date: sam. 11 févr. 2023 à 13:23 Subject: Fwd: Collectif ASPECT Val de Sensée - OSARTIS MARQUION NEWS To: Pascal Friang <Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.> Cc: Marie Joe DEWEZ (Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.) <Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.>
A l'attention de Monsieur Pascal Friang, Directeur de publication du Mensuel d'information OSARTIS MARQUION
En copie : Monsieur le Président de la Communauté de communes OSARTIS-MARQUION, Mesdames et Messieurs les maires et conseillers municipaux, Mesdames et Messieurs les membres du collectif ASPECT Val de Sensée.
Bonjour Monsieur,
J'en conviens, le droit de réponse n'était pas le terme juridiquement idoine, mais vous répondez sur le plan légal alors que nous parlons d'éthique et de déontologie.
Tout d'abord, s'agit-il d'information ou de communication ? S'agit-il de journalisme ou de propagande ?
Si votre magazine n'est en réalité qu'un simple support de communication dont l'objectif, tout au moins pour cet article, est d'offrir une tribune aux promoteurs de l'industrie éolienne (au demeurant VALECO et INTERVENT), alors effectivement cela n'implique aucun travail journalistique particulier. Le cas échéant cela mériterait davantage de clarté dans la présentation, voire dans le titre, afin de ne pas donner au lecteur l'impression qu'il s'agit d'un article d'information traitant de la question éolienne, faute de quoi il ne s'agirait ni plus ni moins que de manipulation mal déguisée. Si au contraire votre magazine prétend effectuer un véritable travail journalistique, et cela semble bien être le cas puisque votre magazine s'intitule OSARTIS MARQUION Votre mensuel d'information, alors notre demande est parfaitement justifiée.
Petit rappel, pour ceux qui nous liront car vous n'ignorez rien de ce qui suit : La déontologie du journalisme est encadrée en Europe par deux textes de référence, la Charte de Munich et la Charte d'éthique professionnelle des journalistes. Parmi les dix devoirs de la Charte de Munich, figurent ceux-ci : - Publier seulement les informations dont l’origine est connue ou les accompagner, si c’est nécessaire, des réserves qui s’imposent... - Rectifier toute information publiée qui se révèle inexacte. (certaines affirmations contenues dans votre article sont contestables ou parcellaires) - Ne jamais confondre le métier de journaliste avec celui du publicitaire ou du propagandiste... Quant à la Charte d'éthique professionnelle des journalistes (dernière version 2011), elle précise notamment que tout journaliste digne de ce nom : - Tient l’esprit critique, la véracité, l’exactitude, l’intégrité, l’équité, l’impartialité, pour les piliers de l’action journalistique... - Exerce la plus grande vigilance avant de diffuser des informations d’où qu’elles viennent... - Dispose d’un droit de suite, qui est aussi un devoir, sur les informations qu’il diffuse... - Défend la liberté d’expression, d’opinion, de l’information, du commentaire et de la critique ; - Refuse et combat, comme contraire à son éthique professionnelle, toute confusion entre journalisme et communication ;
C'est donc dans le cadre de la déontologie et de l'éthique journalistique que nous réitérons notre demande, si tant est que votre article s'apparente bien à un travail journalistique. Sachant qu'une grande majorité des habitants de nos villages sont opposés à de nouvelles implantations de parcs éoliens sur le territoire d'OSARTIS-MARQUION, il serait incompréhensible que vous n'accédiez pas à cette requête.
Enfin, j'ajouterai que le titre même de votre magazine, OSARTIS MARQUION, est particulièrement ambigü au sens où il évoque inévitablement l'Institution publique du même nom. Or, bon nombre de lecteurs se posent la question de savoir s'il existe des relations entre votre entreprise privée et la communauté de communes dont nous faisons partie. Le mensuel d'information OSARTIS MARQUION reçoit-il des subsides, quelle qu'en soit leur forme, de la Communauté de communes OSARTIS MARQUION ?
Faute de réponse de votre part, nous nous réservons le droit de diffuser cet échange par tous les moyens de communication à notre portée.
Cordialement,
Bertrand LECOCQ
Président-fondateur du collectif ASPECT Val de Sensée
Association pour la Sauvegarde du Patrimoine, de l'Environnement,
du Cadre de vie et des Territoires en Val de Sensée
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Deux-Sèvres
Les côuts cachés de l'eolien, sans compter le massacer accéléré de l'environnement par les milliers de km de lignes à haute tension sur la France (enterrées ou non...)
Ce que l’on sait de la future ligne électrique entre Oléron et les Deux-Sèvres
Publié le 10/02/2023 à 14:00 | Mis à jour le 10/02/2023 à 19:45Deux-Sèvres
Il s’inscrira dans un chapelet de seize sites off-shore, programme décidé dans le cadre du développement des énergies renouvelables, des parcs posés ou flottants installés sur la Manche, au nord de la façade atlantique et en Méditerranée.
Le premier de ces parcs a été mis en service fin 2022 (quatre-vingts mâts au large de Saint-Nazaire), d’autres seront bientôt activés à Dieppe, Fécamp, Courseilles-sur-Mer, Saint-Brieuc ou Noirmoutier… L’un des suivants sera donc le parc baptisé « Sud-Atlantique », au large de l’île d’Oléron.
70 éoliennes à 40 kilomètres d’Oléron
Situé à une quarantaine de kilomètres d’Oléron (1), ce futur parc éolien en mer aura une capacité de production de 1.000 MW (mégawatts).
Avec des éoliennes d’une puissance de 15 MW chacune (elles devraient mesurer 270 mètres de haut, pales comprises), il sera composé de quelque soixante-dix mâts sur une aire de 180 km2.
Il sera le premier parc français « posé » en grande profondeur, à 60-70 mètres.
L’État a également prévu la possibilité, par la suite et au-delà de ce premier parc, d’un second site off-shore qui aurait le même potentiel de 1.000 MW et s’étendrait celui-là sur 250 km2.
Le constructeur sera désigné dans le premier semestre 2024 pour un lancement des travaux en 2027-2028 et une entrée en production pas prévue avant 2030.
RTE travaille actuellement sur le raccordement de ce futur parc au réseau électrique existant, c’est-à-dire à la ligne à très haute tension entre Granzay-Gript, à une vingtaine de kilomètres au sud de Niort dans les Deux-Sèvres, et Saintes, en Charente-Maritime.
Le gestionnaire de réseau doit définir un tracé de quelque 130 kilomètres de long.
Tout d’abord, RTE indique que le tronçon terrestre de cette ligne de raccordement sera intégralement enterré (2). C’est ici une question d’acceptabilité et d’intégration dans les territoires, résume en substance Aurore Gillmann, responsable de la concertation chez RTE. Même si cela coûte plus cher que d’ériger des pylônes.
Les câbles (13 centimètres de diamètre) seront enterrés à environ un mètre de profondeur après l’ouverture d’une tranchée d’un mètre de large maximum.
RTE prévoit également de construire deux « stations de conversion » (qui transformeront en courant continu l’énergie produite par les éoliennes) : une off-shore, érigée près du parc éolien, l’autre construite au plus près du point de raccordement à la ligne Granzay-Saintes.
Coût total de ce raccordement : un milliard d’euros. Soit un tiers du coût du projet global.
RTE annonce la présentation de l’esquisse d’un premier fuseau (un kilomètre de large dans la partie marine et 500 mètres sur terre) avant l’été 2023.
Dans un premier temps, il a été imaginé le faire passer par le sud de l’île d’Oléron ; mais il passera plus vraisemblablement par le nord de l’île, entre Oléron et Ré. Il pourrait même sortir de mer au niveau du port de La Pallice. « Cette option est intéressante, souligne Aurore Gillmann, car la ligne pourrait ensuite longer la route nationale 11 jusqu’au futur point de raccordement », du côté de Granzay-Gript.
Ce fuseau sera arrêté par l’État début 2024.
Aurore Gillmann ajoute que RTE œuvre pour « un projet à moindre impact », autrement dit un tracé qui devra éviter au maximum les dérangements, environnementaux notamment. Pas simple quand on sait qu’une ligne tirée au droit entre Oléron et Granzay-Gript mordrait sur le périmètre du Marais poitevin et traverserait des zones naturelles protégées.
(1) Il a d’abord été envisagé de le créer à une dizaine de kilomètres seulement d’Oléron.
(2) RTE envisage aussi d’enterrer la partie marine de la ligne de raccordement, mais, pour des raisons de faisabilité, il ne s’interdira pas toutefois de le recouvrir.
Hervé Texier
Président BNE
Vice président FED
06 89 58 70 27
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BNE, avec vous sur le terrain
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Cordialement Jean-Louis Butré Président Fédération Environnement Durable http://environnementdurable.net Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. tel 06 80 99 38 08